GOLDEN LEAVES
It keeps on raining on the streets
Then the mud just sticks all over me
Like the fog upon the city lights beneath
Shining on the golden leaves
Covering the paths on foot, I'm shaking
'Cause everything just fades forsaking
Babe, you haven't called me lately
And I haven't felt you near me
I have to force myself to re-begin to paint my days with rainbows
You're a part of my own world dear
There's no need to dream you, clearly
Persevering light through darkness
As the wind blows on my face, I'm frozen
My bare arms caress the spaces still unknown
Promising new inspiration
Hiding within my own provoking alibis
But they only tend to disappear again
Babe ! You haven't called me lately
And I haven't felt you breathing
I have to force myself to re-begin to paint my days with rainbows
You are part of my own world dear
There's no need to dream you, hear me
But I've only seen you rarely
And you've only touched me barely
I can only sleep straight through the nights or set them all on fire
You are part of my own world dear
There's no need to dream you, really
FEUILLES DORÉES
Il continue à pleuvoir dans les rues
Puis la boue s'étend toute sur moi
Comme le brouillard au dessus des lumières de la ville
Brillant sur les feuilles dorées
Parcourant les chemins à pied, je tremble
Car tout s'estompe et j'abandonne
Bébé, tu ne m'as pas appelé dernièrement
Et je ne t'ai pas senti près de moi
Je dois me forcer de re-commencer pour peindre mes jours avec des arcs en ciel
Tu es une partie de mon propre monde
Mon cher ce n'est pas la peine de te rêver, clairement
Une lumière persistante dans l'obscurité
Comme le vent souffle sur mon visage, je suis gelée
Mes bras nus caressent des espaces encore inconnus
Une prometteuse nouvelle inspiration
Se cachant à l'intérieur de mes propres exaspérants alibis
Mais ils ont seulement tendance à disparaître de nouveau
Bébé ! Tu ne m'as pas appelé dernièrement
Et je ne t'ai pas senti respirer
Je dois me forcer de re-commencer pour peindre mes jours avec des arcs en ciel
Tu fais partie de mon propre monde
Mon cher ce n'est pas la peine de te rêver, écoute-moi
Mais je ne t'ai que vu rarement
Et tu m'as tout juste effleuré
Je ne peux que dormir durant toute la nuit ou y mettre le feu
Tu fais partie de mon propre monde
Mon cher ce n'est pas la peine de te rêver, vraiment